Le cadran solaire monumental qui trône sur le giratoire du péage Nord autoroutier prés de Rivesaltes a été pour la seconde fois vandalisé ce week-end, barbouillé de peinture jaune. Cette nouvelle dégradation volontaire d’une œuvre symbolique interpelle… loin de représenter une action anodine voire insensée, ne pourrait-elle pas s’avérer bien au contraire motivée, réfléchie et donc porteuse de sens pour ses auteurs ?
Ces actions de vandalisme peuvent nous éclairer sur l’intolérance, le rapport qu’entretiennent certains à la création, la culture, le savoir, les œuvres d’Art… En un mot à la Liberté et à la Tolérance.

Cadran solaire création de Marc André de Figueres (Photo La Gazette Catalane)
Que prévoit le code pénal ?
Est reconnu responsable pénalement, «la destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 30.000 euros d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger».

Cadran solaire création de Marc André de Figueres (Photo La Gazette Catalane)
